Les tubes du classique.

Au programme de la soirée d’ouverture, des « tubes » du classique. Toutes ces « musiques qui rendent heureux » : La Truite de Schubert, Carmen, Rêve d’amour de Liszt, Le Beau Danube bleu, une valse de Chopin, Summertime de Gershwin ou le concerto pour clarinette de Mozart. Et c’est l’ensemble de la programmation qui joue la séduction, avec une soirée Vivaldi, Bach, Mozart. Le festival a aussi inscrit à l’affiche quelques chefs-d’œuvre comme l’octuor de Schubert ou le quintette avec piano de Schumann. Et, côté contemporains, Differents Trains, une œuvre fascinante de Steve Reich.

On a pu retrouver une bonne partie des jeunes musiciens qui ont fait le succès d’Éole en musiques, comme le pianiste Michael Cohen-Weissert ou la pétillante flûtiste Claudia Fernández Álvarez. Et cette année, une « guest star », le compositeur Helios Azoulay.

La billetterie à l’Office du tourisme.

Les lieux et les rendez-vous se sont étoffés en gardant le même esprit estival et décontracté des débuts : l’église de Corsept a accueillit les premiers concerts du jeudi et du vendredi ; le week-end s'est entièrement déroulé à Paimbœuf, dans différents lieux : Le HANGAR (concerts du soir), le préau de l’école de musique, les quais et quelques jardins paimblotins. Le festival a conservé tous les rendez-vous adoptés par le public : concerts pour les enfants, balade musicale, après-concert gratuit.

La ville de Paimbœuf est particulièrement fière d’avoir été choisie comme berceau de ces rencontres musicales d’une forte tenue. C’est pourquoi elle tient à faire preuve de son engagement logistique, financier et humain afin que ce festival grandisse et rayonne au bénéfice de tous.